Personnellement je rajouterais à la Closerie de Baneuil: La Closerie Paradisiaque De Baneuil.
Tellement on se retrouve en apesanteur dans cet écrin de verdure, pareillement porté, sur une mer de nuages. Un vrai voyage initiatique en Éden. Merci à Madame et Monsieur qui savent recevoir grandement et en même temps s'effacer. À revivre...
Des les premiers échanges par mail avec Veronique, on sent qu’on va se détendre dans ce gîte ! Puis son accueil le Jour J confirme l’intuition et on découvre enfin ce gîte super bien conçu pour familles nombreuse,les, au cœur d’un village perché de la Drome adorable, avec des vues grandioses.
Nous avons pu « chiller », randonner, cuisiner, jouer, dormir. Prendre l’air, prendre le temps, et on aurait même rêvé de prendre racines … merci Veronique !
Les Hôtes sont très sympathique et accueillants. Endroit beau et au calme, idéal pour tout types de visiteurs avec ou sans enfants. Chambre confortable et très propre. Piscine sous serre génial. Petit déjeuner sucrée variées avec des produits de leurs confections. Bien situé avec pleins de visites possible au alentours. Je recommande à 100%.
Le personnel est à l'écoute l'entretien de la résidence est tres convenable cependant l'inconvénient c'est qu'il y a beaucoup trop d'escaliers pour accéder d'un bâtiment à un autre rien n'est simple on s'y perd
Ce gîte mérite qu'on s y arrête. Esther est une personne exceptionnelle, qui aime faire plaisir, elle a une joie de vivre communicative. Nous avons passé un très très bon séjour que nous n oublierons pas. Repas faits avec des produits locaux et de qualité. Nous nous sommes régalés.
Quelle très mauvaise surprise de trouver les deux chambres que j’avais réservées le 25 juin dernier pour le 10 septembre, occupées par d’autres personnes !!! Nous avons été fort mal reçues par une allemande qui ne parlait pas un mot de français et qui nous a indiqué que nous devions dormir dans un dortoir avec trois hommes et une femme. Lorsque j’ai dit en anglais que la directrice avait confirmé la location des deux chambres par courriel, elle m’a répondu que c’était impossible de changer et que nous devions dormir dans le dortoir. Mon amie a demandé d’appeler la directrice (qui était en vacances). La demande a été refusée. Entretemps, nous avons donc trouvé un autre gîte et nous sommes parties. La jeune allemande nous a demandé de quitter les lieux d’une manière tout à fait discourtoises « go away ». Mauvaise surprise, car la propriétaire était sympathique dans ses mails et au téléphone.
Véronique et Anne